PASCALE EMERY

Coach en développement personnel

Ma passion, être auprès de vous !

Personne ne choisit d’accompagner les autres par hasard.

Les expériences de la vie, surtout celles qui présentent un défi à surmonter, modèlent la  personnalité dès le plus jeune âge. 

Plus grand est le défi, plus l’envie et la motivation à faciliter le chemin des autres semble s’établir.

Parce que je crois en vous,

Parce que je crois que vous méritez une vie épanouie et heureuse,

Parce que je peux vous aider si, pour l’instant, votre réalité n’est pas à la hauteur de ce que vous désirez vivre,

Parce que pour cela, j’ai besoin que vous aussi puissiez croire en moi, laissez-moi vous en dire un peu plus à mon sujet.

Découvrez mon approche

Mes Valeurs & Convictions

Accompagner les autres est depuis très longtemps une évidence, au plus profond de moi. Irrémédiablement optimiste,  je suis fondamentalement certaine que :

Chaque personne possède en elle des potentiels inexploités.

Chaque personne, quel que soit son parcours, son âge, son état de santé, mérite de se sentir heureuse, épanouie, resplendissante.

Chaque personne a la possibilité de choisir quelle sera sa qualité de vie. Même quand on croit qu’on n’a pas le choix, on a au minimum celui de changer sa perception de la situation.

Plus de connaissances de nous-même et de notre fonctionnement nous apporte plus de pouvoir personnel et ouvre le champ des possibles. Comment auraient réagi les gens en 1910 si on leur avait montré un smartphone du 21ème siècle ? Auraient-ils soupçonné les fonctionnalités innombrables qui sont pourtant à notre disposition quotidiennement ? Les recherches sur notre cerveau, chaque année,  nous laissent entrevoir de plus en plus de capacités dont il est temps de tirer profit !

Chaque personne a besoin d’’un regard bienveillant et encourageant pour être à même de se dépasser, de se remotiver, cela lui permettant de retrouver l’espoir et l’envie de se fixer des objectifs positifs.

Chaque personne a besoin (moi y compris 🙂 ) d’un regard extérieur pour devenir capable de voir les obstacles sur lesquels elle bute constamment. Comme la mouche qui s’épuise à vouloir traverser une fenêtre fermée, qui a la sagesse pour prendre suffisamment de recul, seul, afin d’apercevoir l’autre fenêtre ouverte, juste à côté ?

Cheminer à deux, ou à plusieurs, est bien plus léger, bien plus joyeux, que devoir avancer seul. 

L’accompagnant n’est pas là pour porter l’autre, pour le pousser ou le tirer, mais va pouvoir ouvrir le chemin quand il est difficile, tendre la main quand l’autre trébuche, évaluer et amener son expérience lors du choix d’un itinéraire, et surtout partager et célébrer les réussites lorsque l’étape est atteinte.

Mon parcours de vie, mon histoire

L’adolescence est une période tellement délicate ! Tout change ! Le corps, l’esprit, le rôle à tenir dans la famille, dans la société…. J’étais une jeune fille tellement timide. Pathologiquement timide et introvertie. A ne pas oser poser de questions en classe, à ne jamais participer à une conversation de groupe, à ne pas avoir l’audace d’aller acheter quelque chose dans un kiosque par peur de déranger la vendeuse occupée à papoter…

Handicapant n’est-ce pas ? Cette angoisse du rejet, du regard de l’autre, du jugement, du faux pas me paralysait et avait évidemment une incidence considérable sur tous les domaines de ma vie. J’en étais consciente et j’ai commencé à chercher des solutions. Pas question de demander conseil, bien entendu, beaucoup trop intimidant ! La solution est arrivée au travers d’une publicité dans un magazine, pour un livre qui allait changer ma vie. « Pensez et Guérissez » de Kurt Tepperwein. Une première révélation des pouvoirs extraordinaires de la pensée. Une révolution de mes croyances, une rupture avec les schémas comportementaux avec lesquels j’avais grandi. Jour après jour, en me fixant des suites d’objectifs minuscules à atteindre, j’ai réussi à sortir de mon mutisme et à prendre ma place dans le monde. Et ceux qui me rencontrent aujourd’hui ont bien du mal à m’imaginer timide 😉

Imaginez une jeune femme de 20 ans, belle, grande, intelligente. Un travail bien rémunéré dans un laboratoire de recherche en chimie des pigments, une vie de couple sécurisante dans un appartement confortable, une jolie voiture rouge, des amis, des sorties, des parents, un frère, deux sœurs,…

Des projets ? …. Euh….continuer à travailler pour cette grande entreprise avec une perspective de très bonne retraite, partir deux semaines par année en vacances au soleil, dérouler les étapes de la vie de couple : se fiancer, se marier, faire des enfants, économiser pour construire une maison… Reproduire la vie de mes parents.

Et la maladie est arrivée, soudainement. D’abord une douleur au coude, insistante, puis de plus en plus douloureuse. Ensuite, une à une, toutes les autres articulations. Jusqu’à une souffrance insupportable sans médicaments. Et en arriver à ne plus pouvoir marcher, ne plus pouvoir aller travailler, ne plus bouger. Une ponction dans le liquide secrété dans le genou a permis d’établir un diagnostic : lupus, c’est-à-dire une maladie auto-immune grave. Mes cellules attaquaient mes propres cellules. Une maladie dont on ne guérit pas, et dans mon cas, assez grave pour que mon médecin soit très pessimiste sur ma probabilité de fêter mes 30 ans. Par ailleurs, ce diagnostic a été confirmé à l’époque par deux autres médecins spécialistes.

J’avais donc à peine 20 ans, je passais mes journées allongées dans mon lit, mon corps était saturé d’anti-douleurs et pourtant je marchais comme si j’avais 92 ans. C’est alors qu’est arrivé ma deuxième révolution. J’ai petit à petit trouvé refuge dans mes rêves d’enfant. Dans ma grande passion pour les États-Unis.

J’ai sorti du placard le grand drapeau américain qui avait décoré mon mur d’ado et j’ai commencé à sentir grandir en moi cette envie irrépressible de partir vivre ce rêve. Tant qu’à attendre la mort, autant l’attendre là-bas. Quand j’ai commencé à parler de ce projet, évidemment, tout mon entourage a essayé de me raisonner. J’étais tellement malade ! J’avais besoin de soins, de personnes qui m’aident, comment pouvais-je imaginer faire une chose pareille ?

Bien sûr, cela a pris un peu de temps. Mais un matin, les choses sont devenues tellement claires pour moi, tellement alignées. Pour la première fois de ma vie, j’ai pris une décision allant à l’encontre de tous ceux qui m’aimaient et me protégeaient, quelles qu’en soient les conséquences, juste parce qu’en moi c’était d’une évidence incontestable. Et sans m’en apercevoir, le miracle a eu lieu. En 5 jours, j’ai guéri complètement.

Ce n’est que bien plus tard que j’ai commencé  à me documenter sur la formidable puissance du lien corps-esprit, pour le meilleur et aussi pour le pire…

« J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé, c’est moi qui ai vécu… »

Je me sens proche de cette citation de Musset. Mon caractère entier et passionné recherche tellement cette sensation de se sentir amoureuse ! J’ai vécu plusieurs longues relations, de grandes passions plus courtes, me suis mariée deux fois, et j’ai divorcé deux fois également …

Lorsque vint le moment de la quarantaine, « the mid-life crisis », ce fut l’heure du bilan de toutes ces années, de toutes ces tentatives. Comme beaucoup d’autres, j’avais été blessée, trahie, déçue par des promesses jamais tenues. Il m’est arrivé d’en avoir assez de ces jeux-là, de ressentir de l’amertume, d’avoir envie de dire « ça finit toujours mal » et « je tombe toujours sur les mauvaises personnes, je n’ai vraiment pas de chance ».

Cependant, j’ai pris conscience qu’en me laissant aller au ressentiment, qu’en laissant mes cicatrices me dicter la peur de souffrir à nouveau, je devenais mon propre tortionnaire. La seule personne qui m’empêchait d’être pleinement heureuse et épanouie, c’était moi-même. En effet, mes anciens partenaires n’étaient présents que dans ma tête, lorsque je m’apitoyais sur mon passé. Et l’unique personne capable de dénouer ces liens éprouvants, c’était également moi-même.

Devenir pleinement responsable de sa vie, de ses pensées et de ses émotions n’est pas inné. Nous avons si facilement tendance à reporter la faute sur les autres, à nous sentir victime de l’injustice et de l’insensibilité d’autrui. La vérité pourtant, c’est que nos pensées nous appartiennent totalement. Nous possédons cette fabuleuse capacité de créer à tout âge de nouveaux circuits dans notre cerveau, de rééduquer les chemins de notre pensée, de choisir vers quoi nous allons focaliser notre attention.

Cette démarche est un entrainement cérébral, au même titre que n’importe quel apprentissage. Cela consiste à s’entraîner à reconsidérer ses souvenirs, en les manipulant comme une forme géométrique, pour en faire apparaître les différentes facettes, y trouver finalement les cadeaux et les apprentissages derrière l’émotion initiale.

Qui est capable d’apprendre à jongler ou à jouer du violon en quelques heures ? Lorsqu’il s’agit de « rééducation » du cerveau, il faut aussi accepter de consacrer le temps et l’énergie nécessaire au changement. Mais lorsqu’on commence à ressentir le bonheur s’installer durablement en soi, que l’on tombe véritablement amoureux de sa vie, on ne songe plus à manquer une seule occasion d’exercer cette nouvelle compétence !

Mon parcours professionnel, ma trajectoire

Née à Fribourg, j’ai grandi sereinement dans cette ville, traversant la scolarité obligatoire avec facilité

J’ai choisi très jeune une première formation dans la chimie (CFC de laborantine), car j’ai depuis toujours ressenti le besoin de comprendre comment fonctionnait le monde, de quoi était faite la matière. La chimie et la physique m’ont livré quelques réponses et donné aussi l’opportunité d’aiguiser mon sens du détail et celui de l’observation.

Puis vint le temps de l’aventure et de la découverte. Un peu plus d’une année passée aux Etats-Unis m’a ouvert les yeux sur d’autres façons de penser, d’échelonner les valeurs, de concevoir les distances. J’en garde bien sûr la capacité de communiquer aisément en anglais, mais aussi une vision de l’esprit d’entreprise, de l’importance de la réalisation individuelle, et surtout cet enthousiasme qui permet de renverser les montagnes.

Je suis retournée ensuite travailler dans l’industrie, dans un secteur de Recherche et Développement, ce qui a conforté mon envie de relever des défis. J’ai depuis également gardé le besoin de m’orienter vers des solutions pragmatiques.

Après avoir satisfait ma curiosité concernant la nature de la matière, ma nouvelle passion a pris pour objet  la puissance du cerveau et les mystères de son fonctionnement, de même que son interaction avec le corps. Ma conviction profonde que la connaissance est un levier puissant de changement m’a décidée alors à reprendre des études.

Après un gymnase du soir et l’obtention d’une maturité fédérale scientifique, j’ai été admise à l’Université de Fribourg, dans les filières de Sciences de l’Éducation, Psychologie pédagogique et Pédagogie curative scolaire. Cette expérience a modelé mon approche vers une démarche rigoureuse scientifiquement, tout en me laissant sur ma faim. En effet, les enseignements universitaires manquent parfois d’audace quand il s’agit de débattre des avancées innombrables des recherches récentes. Pas un jour ne se passe sans que des scientifiques publient des résultats qui repoussent la conception de notre propre fonctionnement, et cela est très peu pris en compte par les milieux académiques.

Mon chemin s’est poursuivi avec trois ans d’enseignement des branches scientifiques dans une école professionnelle. Cette étape m’a permis d’être engagée jusqu’au printemps 2015 en tant que coach dans une association ayant pour mission d’aider de jeunes apprentis à lever les obstacles dans l’accomplissement de leurs objectifs de formation. Lors de ces neuf années, je me suis découvert des compétences que je ne soupçonnais pas. Un embryon de projet dans lequel je voyais un réel potentiel s’est transformé en un magnifique dispositif, nommé AppApp, qui aide des centaines de jeunes dans le canton de Vaud. Grâce à l’appui d’une équipe formidable, mes différentes qualités (ou défauts 😉 ) ont émergé. Il s’agit d’une ténacité devant l’adversité, de la capacité à convaincre et à susciter l’adhésion, de l’aisance à parler en public, de la faculté à avoir une vision globale, à court, moyen et long terme et finalement un énorme sentiment de créativité extrêmement inattendu. Sans oublier l’humour et la légèreté, sans lesquels toute négociation devient tout à fait périlleuse…

Tout cela m’a donné l’envie irrépressible de voler de mes propres ailes, et d’élargir les possibilités de rencontre avec toutes celles et ceux qui rêvent d’un avenir plus grand, plus radieux, plus coloré, d’un corps et d’un esprit plus sain,  mais qui hésitent encore franchir les pas nécessaires, à sortir de leur zone de confort. L’accompagnement Envol était né…

Alors , prêt(e) à franchir un Cap ?